La dernière rose de l’été
Lucas Harari Lucas Harari
Après l’Aimant, énorme succès en 2017, Lucas Harari nous plonge dans un polar hitchcokien : haletant!
La dernière rose de l’été revisite le récit d’ambiance avec une grâce épurée.
Une esthétique léchée, des couleurs hypnotiques, et un don singulier pour établir des atmosphères mystérieuses : pas de doute, c’est bien le nouvel Harari!
C’est l’été. Léo, jeune rêveur parisien caressant l’espoir de devenir écrivain, bosse dans un l’aromatique en attendant de trouver l’inspiration pour son grand oeuvre.
Un soir, il croise par hasard un cousin qui lui propose de garder sa maison de vacances au bord de la mer.
Coup de pouce du destin, le timide Léo se retrouve, quelques jours plus tard, voisin de riches plaisanciers aux voitures de collection et villas d’architecte.
Cependant, malgré l’atmosphère légère et surréaliste, quelque chose ne tourne pas rond. De jeunes hommes disparaissent aux alentours, la tension monte… C’est dans ce cadre étrange, et tandis que l’inspecteur Beloeil mène l’enquête, que Léo rencontre sa jeune voisine, adolescente capricieuse et sauvage : la belle Rose.
Un cousin qu’il n’a pas vu depuis un siècle se pointe par hasard pour laver ses draps.
La proposition est unique, la mer, le soleil, il ne pouvait rêver mieux pour écrire.
Deux adolescents qui disparaissent ensuite dans l’estuaire …
Des illustrations plus que réalistes, qui nous emmènent vers un été des plus sombres, accompagné de Rose.
Edité par Éditions Sarbacane, 26 août 2020
29 €